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Metin Arditi confronte Freud à sa mort prochaine. Entre introspection, mauvaise foi et bilan existentiel, le spectacle est transcendé par le jeu de trois interprètes au diapason.

La pièce imagine en 1939 la dernière nuit du célèbre psychiatre viennois, alors exilé à Londres et se sachant condamné par la maladie. Convoquant l’une après l’autre plusieurs figures marquantes de son existence, il se remémore ses ambitions, son besoin de tout contrôler, sa peur viscérale de l’humiliation et ses rendez-vous man­qués, révélant aussi ses failles les plus intimes envers la filiation et sa judéité.

© Mercedes Riedy
© Mercedes Riedy
© Mercedes Riedy

« Dans le texte, la parole des autres personnages comme Lou Andrea Salomé, Nietzsche, Anna, sa fille, la petite Klara, et son père sont signalés par des guillemets ou par des italiques. Ainsi, on peut dresser un petit théâtre de la pluralité des voix qui hantent la dernière nuit de Freud. »

François Marin

Générique

mise en scène
François Marin

avec
Caroline Althaus
Frédéric Lugon
Nicolas Rossier

production
Cie Marin